Intervention d’artistes Stefan ORINS et Patricia Jeanne DELMOTTE dans le cadre d’une performance
et
une exposition des œuvres clefs de l’artiste Patricia Jeanne Delmotte
BONHEUR TEMPORAIRE
Improvisation musicale et picturale
Concert visuel
Peinture-performance
35 minutes de dialogue piano/peinture
Le concert est le laboratoire.
La scène devient un lieu d’expérimentation.
Créer en direct en un temps limité.
Être à la fois prisonnier du temps et
paradoxalement se jouer de ce temps.
Trouver un accord réciproque entre les sons, les
mélodies et les rythmes et les formes, les lignes et les couleurs.
Bonheur temporaire est une rencontre entre une plasticienne et un compositeur, entre la peinture et la musique, deux arts qui ne conçoivent pas le temps et l’espace de même
manière.
Ce duo est entièrement basé sur l’improvisation. Chacun des deux arts s’inspire de l’autre. Il s’agit pour la peintre d’écouter le piano et d’utiliser ses oreilles pour produire sa peinture et pour le pianiste de regarder la peinture et d’utiliser ses yeux pour produire sa musique, chacun cherchant à dialoguer avec l’autre, chacun cherchant à être le plus réceptif possible et chacun cherchant à traduire son ressenti intime de ce que fait l’autre.
Cette expérimentation demande d’être disponible, réceptif et attentif à l’autre et c’est en ce sens que le dialogue improvisé s’établit.
Le concert est le laboratoire et la scène devient un lieu d’expérimentation. Il s’agit de créer en direct en un temps limité en étant à la fois prisonnier du temps et paradoxalement en se jouant de ce temps.
Il s’agit de trouver l’accord réciproque entre les sons, les mélodies et les rythmes et les
formes, les lignes et les couleurs.
Bonheur temporaire
IMPROVISATION PEINTURE/MUSIQUE
Patricia Jeanne Delmotte/Stefan Orins
Bonheur temporaire est une rencontre entre une plasticienne et un compositeur, entre la peinture et la musique, deux arts qui ne conçoivent pas le temps et l’espace de même
manière.
Ce duo est entièrement basé sur l’improvisation. Chacun des deux arts s’inspire de l’autre. Il s’agit pour la peintre d’écouter le piano et d’utiliser ses oreilles pour produire sa peinture et pour le pianiste de regarder la peinture et d’utiliser ses yeux pour produire sa musique, chacun cherchant à dialoguer avec l’autre, chacun cherchant à être le plus réceptif possible et chacun cherchant à traduire son ressenti intime de ce que fait l’autre.
Cette expérimentation demande d’être disponible, réceptif et attentif à l’autre et c’est en ce sens que le dialogue improvisé s’établit.
Le concert est le laboratoire et la scène devient un lieu d’expérimentation. Il s’agit de créer en direct en un temps limité en étant à la fois prisonnier du temps et paradoxalement en se jouant de ce temps.
Il s’agit de trouver l’accord réciproque entre les sons, les mélodies et les rythmes et les
formes, les lignes et les couleurs.


Improviser
« Ce qui fait le poids, l’épaisseur, la chair de chaque couleur, de chaque son, de chaque texture tactile, du présent et du monde, c’est que celui qui les saisit se sent émerger d’eux par une sorte d’enroulement ou de dédoublement […], qu’il est le sensible même venant à soi, et qu’en retour le sensible est à ses yeux comme son double ou une extension de sa chair. »Maurice Merleau-Ponty.
Bonheur temporaire est une rencontre entre une plasticienne et un compositeur, entre la peinture et la musique, deux arts qui ne conçoivent pas le temps et l’espace de même
manière.
Ce duo est entièrement basé sur l’improvisation. Chacun des deux arts s’inspire de l’autre. Il s’agit pour la peintre d’écouter le piano et d’utiliser ses oreilles pour produire sa peinture et pour le pianiste de regarder la peinture et d’utiliser ses yeux pour produire sa musique, chacun cherchant à dialoguer avec l’autre, chacun cherchant à être le plus réceptif possible et chacun cherchant à traduire son ressenti intime de ce que fait l’autre
Bonheur temporaire est la rencontre entre une plasticienne et un compositeur, entre la musique et la peinture, deux artistes qui ne conçoivent pas le temps et l’espace de la même manière.
Ce duo est entièrement basé sur l’improvisation. Chacun des deux arts s’inspirent de l’autre. Il s’agit pour la peinture d’écouter le piano et d’utiliser ses oreilles pour produire sa peinture et pour le pianiste de regarder la peinture et d’utiliser ses yeux pour produire sa musique, chacun cherchant à dialoguer avec l’autre, chacun cherche à être le plus réceptif possible et chacun cherchant à traduire son ressenti intime de ce que fait l’autre.
Cette expérimentation demande d’être disponible, réceptif et attentif à l’autre et c’est en ce sens que le dialogue improvisé s’établit.
Le concert est le laboratoire et la scène devient un lieu d’expérimentation ; Il s’agit de créer en direct, en un temps limité en étant à la fois prisonnier du temps et paradoxalement en se jouant de ce temps. Il s’agit de trouver l’accord réciproque entre les sons, les mélodies et les rythmes, et les formes, les lignes et les couleurs.
Les classes concernées furent les classes de 4ème et 5ème pour la performance.
Ce projet rentre dans le cadre du Peac.
L’éducation artistique et culturelle contribue à la réussite et à l’épanouissement des élèves, notamment par le développement de l’autonomie et de la créativité, la diversification des moyens d’expression et l’appropriation de savoirs, de compétences et de valeurs.
Le projet comporte une présentation du
duo et un choix de visuels de peintures, dessins et photos d’improvisations
publiques.
L’artiste Patricia Jeanne Delmotte a fait une exposition dans le collège en rapport avec le duo piano-peinture, avec des peintures, des dessins, et des photos et vidéos.
Elle a accueilli des classes pour expliquer le projet.
Workshops avec les élèves sur l’improvisation musique et peinture.
Ancrage au programme
Cycle 4
La relation du corps à la production plastique
L’implication du corps, les effets du geste, et de l’instrument, lisibilité du processus de production et son déploiement dans le temps et dans l’espace
Point de vue
Comment se construit la relation entre l’œuvre et l’espace qui l’accueille ?
L’expérience sensible de l’espace de l’œuvre : rapport espace perçu, ressenti, espace représenté ou construit ; espace et temps comme matériaux de l’œuvre, mobilisation des sens ; point de vue de l’auteur et du spectateur dans ses relations à l’espace, au temps de l’œuvre,
Les métissages entre les arts plastiques et technologies numériques
L’espace en trois dimensions : expérimentation du travail en volume.
L’espace de l’œuvre et l’espace du spectateur.
Marjorie FLOERS